En exclusivité pour mes chers lecteurs...
Un petit récit empreint d'érotisme, que j'ai écrit pour satisfaire mon imagination trop fertile en ces temps (bientôt révolus peut-être...) de célibat.
Il me caresse doucement, m'embrasse les genoux, les lèche, s'attarde sur mes cuisses, s'aggripe à mes hanches pointues et fait coulisser ma culotte le long de mes jambes, avant de remonter longuement pour enfouir son nez dans mon sexe. Je sens sa langue se durcir et me pénétrer violemment. Il joue avec, des spasmes de plaisir me font tressaillir. Il s'amuse à varier la vitesse de ses caresses buccales, joue sournoisement avec cette langue dont il se sert pour me goûter, y engouffre un doigt, ses yeux se lèvent furtivement vers mon visage maintenant déformé par le plaisir. Je suis mouillée, je fonds de plaisir et désir, ses doigts me pénètrent maintenant avec fermeté, je me sens moite, il se sert maintenant de sa main pour recueillir ma cyprine et l'étaler sur mon ventre, mes fesses, il lèche ses doigts, me caresse la joue en me regardant avec ce regard que je ne lui connais pas, un regard avide, empli de la violence de son désir, voilà maintenant qu'il me retourne, je suis à plat ventre, j'ai chaud, des goutttes de sueur perlent sur ma nuque, qu'il s'empresse de boire et lécher avec volupté, je sens son sexe, dur comme jamais contre mes fesses mouillées. Il me chuchote à l'oreille qu'il n'en peut plus, qu'il faut qu'il me pénètre maintenant, et immédiatement me colle contre lui nos regards sont désormais plantés l'un dans l'autre, il caresse mon sexe encore et commence à me pénétrer, c'est chaud et dur, c'est bon, je fonds. Ses hanches se heurtent aux miennes régulièrement, ses coups de reins m'emplissent progressivement, tout mon bas-ventre se transforme en volcan. Ses mains s'arrêtent tantôt sur mes épaules, m'enserrent, avant de repartir vers la rondeur discrète et juvénile de mes seins. Je lis dans ses yeux le plaisir, l'abandon, la complicité; il suçote mes seins, mordille mes têtons alors que je caresse ses fesses tandis qu'il bouge en moi. Nous nous mouvons l'un dans l'autre dans un même rythme lent et noueux.
Bon voilà, il n'y a ni début ni fin, mais ça me traversait l'esprit et je n'ai pas pu m'empêcher de vous faire partager mon petit récit, surtout après cette longue absence. Bises !